lundi 31 décembre 2012

Une statue d’Hitler dans le ghetto de Varsovie, où les Juifs furent « cantonnés », selon le Figaro


Saviez-vous que Varsovie (la municipalité, un musée; je m'en fiche) a permis que l’on installe en plein ghetto de Varsovie une statue de Hitler, très angélique, agenouillé et, manifestement en train de prier ?

Saviez-vous que le grand rabbin de Pologne Michael  Schudrich, selon le le Guardian, aurait été consulté sur l’emplacement de l’œuvre ne s’y serait pas opposé ? 

Qu’il puisse y avoir des artistes provocateurs (un italien en l’occurrence),  des Polonais charnellement antisémites et même de rabbins imbéciles n’est pas vraiment un scoop ; on en a vu d’autres. Non, ce qui me choque surtout, c’est pourquoi l’illustre coiffeur Figaro, et par là même, quotidien, nous dit  que dans le ghetto de Varsovie « des milliers de Juifs y furent cantonnés ».

Un cantonnement est par définition provisoire, des soldats sont cantonnés dans une caserne, les conditions d’un cantonnement ne sont pas inhumaines comme ce fut le cas du ghetto de Varsovie où se sont entassés jusqu’à 400.000 Juifs, à 7 par pièce, un cantonnement n’est pas en principe un prélude à l'élimination systématique des cantonnés. Dans un canton ou un cantonnement, il n’y a pas  de soulèvement des cantonnés qui savent qu’en se révoltant contre les Nazis, ils seront exterminés jusqu’au dernier.

Alors, nom d’une pipe en bois, pourquoi le journaliste du Figaro a usé du terme « cantonnés » ? Parce que qu’il n’est pas trop informé sur ce qu’a été le ghetto de Varsovie ?  Parce que, parmi tous les synonymes à sa disposition, il a choisi celui qui lui paraissait  le plus approprié.  Ou, parce que cela réduit et banalise l’horreur nazie, comme l’est l’introduction d’un Hitler angélique dans le ghetto de Varsovie 

Le Figaro continue et nous informe que cette statue a fait l’objet de vives critiques de la part de certaines organisations juives. Pourquoi pas de toutes, d’autres organisations juives seraient- elles favorables au retour d' Hitler dans le ghetto de Varsovie ? Et pourquoi n’y aurait-il que des Juifs qui condamneraient cette ignominie, les non-juifs ne verraient pas d’inconvénient à cette exposition ?

Je vous passe les justifications oiseuses de cet Hitler en cire; du genre : faire réfléchir sur la nature du mal, « une  valeur éducative» selon le rabbin Schuldrich…  On croie rêver !

Enfin, dernière question : à quoi  et qui peut prier Hitler ? Je gage  qu’il prie pour que quelqu’un finisse à sa place le travail qu’il a si largement entamé. Yima'h chemo vezi'hro

dimanche 30 décembre 2012

Le mot « GOD » viendrait-il de Gad, le septième fils de Jacob ?



Ca y est, une page est tournée : nous avons terminé le Livre de Berechith (La Genèse) et attaquerons la semaine prochaine Chemot. La lecture de la dernière Paracha (section biblique) Vayéhi m’a fait penser à un article que j’avais écrit jadis sur le Septième fils de Yaakov, GadRappelons que Gad renvoie sur Gdi, soit le capricorne; à la fois l’animal et le signe astrologique pour les  personnes nées entre le 22 décembre et le 20 Janvier.


Il est connu que les Nations, autrement dit les Langues (Am Vélachon, en hébreu), nous ont emprunté au fil des millénaires une tonne et demi de concepts, de mots et de noms, qui ont généré, ou dégénéré, dans des mots en différentes langues. Ainsi Gad, le fils de Zilpa, l’esclave de Léa, aurait donné naissance au mot « GOD », soit dieu en anglais.

Curiosité de la gématria, le mot "God" en anglais a la valeur numérique de 26, non pas d'après l'alphabet hébraïque bien sûr, mais d'après l'alphabet courant. (G=7) + (O=15) + (D=4) = 26. Le chiffre 26 renvoie sur le "Nom imprononçable" qui a aussi valeur de 26, d’après l’alphabet hébraïque cette fois.

Dans la Torah, il est écrit BaGad qui signifie tout bonnement « est venu Gad ». Le problème se complique légèrement dans la mesure où Bagad en hébreu signifie  « il a trahi ». Cette explication est d’autant plus vraisemblable que Ba Gad aurait du être écrit en deux mots (un verbe et un nom) alors que dans le Texte il figure en un seul (Voir Rashi 30 :11).

Quoiqu'il en soit la question qui se pose est : qui est venu, qui a trahi, qui est ce Gad ?

Gad, dans le Livre d’Isaïe (65 :11) serait un des dieux païens  que les Juifs auraient servi dans leur exil en Babylonie. D’autres assimilent Gad à la planète Jupiter, qui ne se contente pas d’être une planète mais aussi un dieu, Zeus. Bien des années auparavant les Cananéens associaient déjà la planète dite Jupiter au dieu Baal, qui était leur principal dieu.

Léa, en nommant le fils de sa servante, pensait en fait que la venue de ce fils était une bonne fortune, une chance ; en hébreu on dirait un Mazal Tov. O.K, sauf qu’en hébreu le mot Mazal signifie plutôt « astre » que « chance ». Il convient d’ailleurs de noter que la Gématria du nom Gad, qui est le septième fils, est précisément 7, et celui de Mazal est 77. Cet astre, ce Mazal, pourrait être la planète Jupiter que nos Sages ont préféré  appeler  Tsédék,  justice.

Rav Munk (Zal) nous rapporte un passage du Zohar qui réconcilie les deux définitions: Gad était fait pour être le plus parfait des 12 fils de Jacob mais il quitta la bonne voie et s'engagea dans une fausse direction. Ainsi, les descendants de Gad choisirent de s'installer en Transjordanie, s'éloignant ainsi de la source de sainteté que représente la Terre d'Israël. Ils choisirent délibérément la Diaspora. Le bonheur,  la chance ou la fortune étaient incomplets, du fait de cette "trahison".

Interprétation personnelle : le mot God, ou Gott en allemand, renvoie à gut, good, soit, bon, comme la bonne fortune que constitue la venue d’un enfant. Pourquoi pas ? Et puis, dieu est censé être bon, dans les civilisations qui le nomment GOD.



samedi 29 décembre 2012

La sale sortie d’Arié Déry: « Le Likoud est composé de Blancs et de Russes »



Alors, si je comprends bien, les Blancs ne sont pas russes et les Russes ne sont pas blancs ? Ou alors, les Blancs et les Russes ne sont pas suffisamment bronzés, alors que les Séfaradim le seraient ? Et quid des Partis de Gauche qui sont Blancs sans être Russes ?  Les Russes et les Blancs qui composent le Likoud sont donc, selon Déry, les visages pâles et les Séfaradim du Chass, les véritables indiens, et fiers de l’être de surcroît ! Et que dire des Yéménites qui votent Likoud alors qu’ils sont encore plus bronzés que les Chassnikim ?

Pour ma part, je connais des Séfaradim blancs de peau et, blonds de surcroît, qui ne votent pas Chass, ni Likoud, non plus d’ailleurs. Ils réservent leur voix au Baït Hayéhoudi, où Blancs, Russes, Ashkénazim, Séfaradim et consorts, cohabitent sans stigmatisation aucune, comme parmi les Partis politiques israéliens d’ailleurs, qui, depuis longtemps, ne se livrent plus à ces stigmatisations imbéciles ; il y a suffisamment d’arguments à faire valoir. Je ne reconnais dans la galaxie politique israélienne qu’une seule catégorie de Partis bronzés qui sont les Partis arabes ; Déry veut-il comparer le Chass à ceux là ?

La sortie d’Arié Déry me défrise au plus haut point. Israël n’a pas été créé pour qu’après 65 ans d’existence, on ressorte des placards le démon racial, la couleur de la peau et l’origine des Grands-Parents. Il est clair aussi que moins on saucissonne le Klal Israël en tranches d'épaisseur et de couleur différentes, mieux il se porte pour remplir sa vocation.

Je considère que ce type d’argument électoral est  le plus sale qui soit. Ce n’est pas la peine de sortir de tôle pour nous le ressortir, Monsieur Déry. Ça fait jaser les antisémites et anti-israéliens de tous poils, qui ont suffisamment de fausses-bonnes raisons de nous détester, pour ne pas en rajouter.

En conclusion, on est bronzé que si on le veut bien et si on le clame sur les toits. Alors, autant fermer sa gueule !


mardi 25 décembre 2012

Quand en France le ridicule chasse le morbide, revenez aux fondamentaux: écoutez les cours de Torah du Rav Cherki


Par les temps qui courent où le ridicule chasse le morbide pour faire place au catastrophisme, et Lycée de Versailles, il est largement temps de revenir aux fondamentaux; à savoir commencer enfin à étudier la Torah. Pour ce faire il faut commencer par une méthode soft qui ne vous fera pas quitter votre canapé ou votre écran. Je vous suggère vivement de commencer en écoutant les cours que dispense le Rav Ouri Amos Cherki au Mahon Méir à Jérusalem.

Je ne vais pas me lancer dans des superlatifs sur le Rav Cherki, ni sur sa façon d’enseigner la Torah. Sur ce coup il faut me faire confiance : c’est ce qui se fait de mieux !!

Pour les Francophiles, par choix ou nécessité, cliquez sur ce lien qui met à votre disposition quelques 350 cours en français, à ce jour. Pour les hébraïsants ou ceux qui sont disposés à fournir un effort, il y a 2500 cours enregistrés par Rav Cherki (pourtant francophone d’origine) à votre disposition.

Il ya d’autres Rabbanim de grande qualité au Mahon Meir qui dispensent des cours en français ; je me suis contenté de vous livrer mon best shot. Pour ma part j’ai dû écouter à ce jour quelques 200 cours du Rav - certains deux fois - et je continue.

Enfin, un bon usage de votre ordinateur, tablette ou portable. 

lundi 24 décembre 2012

L’Egypte s’est infligée toute seule la plaie des ténèbres


Souvenez-vous : il y a quelques 3760 ans le Pharaon refuse de permettre aux Hébreux de quitter l’Egypte. Pensez-vous, des esclaves si bon marché et qui, plus est, susceptibles de se joindre aux ennemis de l’Egypte pour les combattre ! Alors, D.ieu ordonne à Moïse d’asséner aux Égyptiens Dix Plaies particulièrement déplaisantes. Parmi ces catastrophes, la plaie des ténèbres. A la fin le Pharaon cède ; vous connaissez la suite.

Aujourd’hui, plus besoin d’intervention divine, du moins apparente ; les Egyptiens se sont infligés eux-mêmes  la plaie de l’obscurité ; certains diraient de l’obscurantisme. Une Constitution taillée sur mesure qui fait entrer de plein pied  80 Millions d’Egyptiens au Moyen-âge ; et même avant.

Il ne fallait pas être grand clerc pour le prévoir dès les premiers happenings sur la place Tahir, où des jeunes gens bien mis et pas allumés islamistes pour un sou ont fait leur petite révolution printanière, que les Frères Musulmans allaient emporter la mise..  

Je vous renvoie sur les articles que j’ai écrits à l’époque. Et pourtant, je ne suis ni prophète ni fils de prophète.


dimanche 23 décembre 2012

Deux Etats pour deux peuples, le Hamastan et Israël, NON !!!


Ne soyons pas naïfs, le Hamas va tôt ou tard (et plutôt tôt que tard) balayer Mahmoud Abbas et tous ses acolytes, de ce que l’on a coutume d’appeler la Cisjordanie. Et, ce faisant, s’emparera de tous les leviers de commande, administratifs et militaires mis en place par l’OLP. Le Hamas ne prétend t-il pas avoir gagné la dernière guerre contre Israël ; ce qui dans une certaine mesure est exact, compte tenu de la frilosité manifestée par la bande de trois : Bibi, Yvettte et Ehoud. Fort de cette « victoire, assisté par ses Frères Musulmans égyptiens et soutenu par son principal supporter : Baraq Obama, le Hamas, par une manœuvre électorale (comme il l’a fait à Gaza) et/ou une épreuve de force, va actionner son propre Printemps arabe et activer les Hamasnik sommeillants à Ramallah, Hébron ou ailleurs, pour chasser les militants pro-OLP et s’implanter solidement et durablement le long de la Ligne verte. Et vous voudriez, Messieurs les censeurs, qu’Israël consente à ce qu’un Hamastan   plein de haine et de fureur (Hamas, rappelons le, signifie « colère » en hébreu) s’arroge un Etat à un jet de pierres de la frontière israélienne ? Mais il faudrait être fou à lier pour accepter une telle situation et d’une mauvaise foi criante pour inciter Israël à y consentir.

Second volet : les constructions qualifiées d’illégales projetées par Israël entre Jérusalem et Maalé Adumim, qui sont ne distants d’une dizaine de kilomètres. Pensez-vous, Messieurs les censeurs que ce corridor fera partie un jour de ce que vous appelez la Palestine ? Pense-vous qu’il est envisageable de permettre à un Hamastan quelconque de se rendre maître de ce corridor. Pour moi, et pour d’autres, cette route est le corridor de la mort. En ce qui me concerne, j’y ai perdu une amie chère qui a été mitraillée dans sa voiture, alors qu’elle se dirigeait vers notre maison pour y célébrer avec ma famille et d’autres amis la fête de Pessa’h. Et que dire de sa fille et de ses petits enfants qui sont toujours à Maalé Adoumim ? Ceci est d’autant plus absurde que l’annexion définitive par Israël de ces dix kilomètres de pierrailles - avec ou sans constructions - n’empêcherait en aucune façon une Palestine de s’y implanter, géographiquement parlant. (à ce que D.ieu ne plaise).

Troisième volet : la classe politique israélienne a fait tout un pataquès pour une phrase prononcée par Naftali Benet, qui s’est contenté de dire lors d’une interview : « que l’ordre de déloger un homme de sa terre, qu’il soit un juif ou un arabe, soulève un dilemme moral difficile ». Bien entendu, les commentateurs sur les média internationaux, ont sciemment omis de rapporter que Naftali a parlé aussi bien des Juifs que des Arabes. Quant aux politiciens israéliens de tous bords, effrayés par l’arrivée en force du Baït Hayéhoudi, ils ont crié au refus d’exécuter les ordres ; ce qui ne correspond pas au contenu des propos de Naftali. Bibi et le Likoud, qui commencent à avoir encore plus peur de Benet que d’Obama, ont réagi par des affichettes signées « anonyme », ce qui n’est pas très classe.

Espérons que la prochaine Knésset saura verser aux cauchemars de l’Histoire la perspective de l’Etat Hamastan


lundi 17 décembre 2012

Après Warschawski, Taubira devrait remettre le prix des droits de l'homme de la République française aux Neturey Karta


En France on vomit Depardieu; ce traître à la patrie, dont le seul tort est de refuser de continuer à renflouer exagérément les caisses de l’Etat français, mais on adore récompenser et honorer les véritables traîtres à leur patrie, à condition bien entendu que cette dite patrie soit Israël. 

Rappelons que Michel Warschawski a été condamné et emprisonné en Israël en 1987 pour assistance à l’ennemi, en l’occurrence  au très marxiste léniniste, nationaliste et terroriste  FPLP, dont le but déclaré est la création de la Palestine au lieu et à la place de l’Etat d’Israël.

Quelle jouissance pour Christiane Taubira qui n’a jamais porté Israël dans son cœur mais adore les pauv. Palestiniens zopprimés zé malmenés que d’accorder une distinction, bidon certes, mais combien humanitaire et tricolore à un franco-palestino-israélien qui doit être vomi par 99.99 % de la société israélienne.  Leila Shahid, la grande copine de Warschawski en frémit de bonheur ( en photo)

Je conseille donc à Madame Taubira de songer à accorder l’année prochaine (tout en espérant qu’elle aura dégagé de son poste d’ici là) le prix des droits de l’homme de la République française aux Neturey Karta qui partagent avec Michel Warschawski l’amour immodéré des ennemis d’Israël : Arafat, Ahmadinejad et consorts.

Je n’ose conseiller à Israël - parce que je laisse le mauvais gout et la provocation à la France - d’accorder le prochain prix des Arts et Lettres israélien à un comédien qui a tant fait pour la francophonie, à laquelle Israël ne fait pas partie (le Qatar, si) en la personne de Depardieu. Le moment serait bien choisi, non ?

vendredi 14 décembre 2012

Ras le bol avec le « blocus » sur Gaza. Explications



Entendu sur France-Info, la toujours très anti israélienne chaine de radio étatique, un historien nous rabâcher encore les oreilles sur le blocus israélien sur Gaza.
Il faudrait une fois pour toutes en finir avec ces idées fausses reçues et répétées : il n’y a pas de blocus sur Gaza pour deux raisons simples.

1/ Pour qu’il y ait blocus sur un territoire, il faut que ce territoire soit enclavé (fermé hermétiquement de tous côtés). Or, dans la mesure où Gaza dispose d’une frontière avec l’Egypte et, qui plus est, d’un point de passage clairement identifié : le Maavar, passage de Rafia’h, on ne peut parler de blocus. Si les Egyptiens empêchent la circulation totale ou partielle d’hommes et de marchandises entre le pays des Pharaons et celui des Philistins, c’est leur problème, et la communauté internationale devrait s’indigner de la fermeture des frontières entre l’Egypte et Gaza et lâcher les baskets à Israël, nullement concerné. Si des Frères musulmans, si chers au cœur d’Obama, habitent des deux côtés d’une frontière, que leur papa qui siège à la Maison Blanche, leur rappelle les devoirs de la fraternité.

2/ La deuxième raison est qu’il n’y a pas de blocus entre Gaza et Israël. Israël fait parvenir à Gaza des médicaments, des vivres et toutes sortes de marchandises alors qu’il pourrait bloquer hermétiquement la frontière. Israël fournit par ailleurs à Gaza toute son électricité. En appuyant sur un bouton ou en baissant une manette, Israël pourrait plonger Gaza dans les ténèbres, comme le fit jadis Moïse lors des dix plaies infligées aux égyptiens. Or, même en période de guerre, il ne le fait pas. Israël soigne même les malades Gazzaouis dans ses hôpitaux.

On s’indigne par ailleurs qu’Israël ait bloqué quelques 400 millions de dollars de droits de douane alors qu’il faudrait rappeler que l’ardoise des Gazzaouis vis-à-vis des Israéliens dépasse le milliard de dollars.

Faudrait-il qu’Israël ferme les yeux sur le contenu des marchandises en direction  de Gaza pour leur permettre de recevoir les missiles qu’ils lanceront le lendemain sur les villes israéliennes ?
Donc techniquement il n’y a pas de « blocus » sur Gaza. Il suffirait que les Egyptiens ouvrent grandes les grilles de Rafia’h pour que les habitants de Gaza puissent s’ébattre librement dans le Sinaï, et de là dans le monde entier.

Il serait souhaitable que le message parvienne à France Infos truquées et aux journalistes/historiens désinformés et partiaux.



Pour mémoire et si vous ne le connaissez pas encore, rappelons le tout dernier Logo pondu par l’Autorité palestinienne à l’occasion de ses 48 printemps.  Il n’y a rien qui vous pose problème ?



 Et si on profitait de cette accalmie de roquettes pour parler des Harédim. Pardon, de certaines mouvances hassidiques, pour qui, la néglige...