mardi 29 janvier 2013

L’Amérique d’Obama n’est même plus un tigre de papier comme l’avait prévu Mao Zedong


En fait,  l’expression chinoise « zhǐ lǎohǔ » qui désigne une chose apparemment menaçante, mais en réalité inoffensive, que l’on traduit en Occident par un "tigre de papier", ne s’applique même plus à l’Amérique sous Obama.  En effet, un tigre, qu’il soit en papier ou en chair et en os montre au moins les crocs ; bien que l'on sache qu’il ne faut plus en avoir peur parce que ses crocs sont élimés et qu’il ne peut plus blesser personne, mais au moins il fait semblant.

 Obama, depuis son discours au Caire en 2009 a clairement montré la couleur et la consistance de ses quenottes, qu’il a blanches mais non pointues. Non, il ne mordra plus personne, à commencer par les Arabes, en particulier, et les  Musulmans en général. Le jour même où il était l'invité d'honneur du président Moubarak, Obama rencontrait au Caire les dirigeants des Frères Musulmans, ce qui n'était rien moins qu'un coup de poignard dans le dos de son hôte. D’ailleurs, se sentant insulté et offensé, Moubarak n'a pas assisté au discours d'Obama, prétextant le décès récent de son petit-fils.

Les États-Unis d'Obama ont bien trop peur de lancer un ultimatum au régime des Ayatollahs qui continue sereinement le développement de leur bombe, laquelle aura la capacité d'atteindre New York et pas seulement Tel-Aviv.

L'assassinat de l'ambassadeur américain en Libye n’est rien d'autre qu'un maillon de la chaîne dans l'incapacité des Américains à comprendre le Moyen-Orient. Comble d'ironie, c'est l'ambassadeur américain assurant le lien entre son gouvernement et les rebelles anti-Kadhafi, qui a été la cible des islamistes libyens, lesquels ont traîné son cadavre dans les rues de Benghazi.

Dernière lâcheté d’ Obama : dans une interview donnée le 28 Janvier au New Republic,  Obama s’interroge : «  In a situation like Syria, I have to ask: can we make a difference in that situation ?” Ce qui signifie en clair qu’après 80.000 morts, les Etats–Unis renoncent à toute intervention en Syrie. Et parcequ’il faut quand même que quelqu’un fasse le boulot,  Leon Panetta enjoint à la Turquie et à la Jordanie de suivre avec attention l’évolution de la menace chimique syrienne et de s’en emparer par la force le moment venu. Le tigre en papier envoie les chacals faire la sale besogne qui lui répugne et dont il a peur. 
Dans la même interview Obama continue à s’interroger : “Et comment dois-je comparer les milliers de morts syriens aux milliers d’innocents qui sont entrain de se faire massacrer au Congo ? (And  how do I weigh tens of thousands who've been killed in Syria versus the tens of thousands who are currently being killed in the Congo?)  Obama compare un conflit qui risque de s’étendre à toute la planète à une guéguerre locale qui oppose l’armée congolaise à une milice locale katangaise, qui ne menace ni la paix du monde, ni même la paix en Afrique noire.

Le prochain scénario qui se dessine dans la région sera l’annexion pure et simple du Koweït par l’Iran. Le Koweït envisage même aujourd'hui de se joindre librement à l'Iran afin de se préserver des horreurs de la guerre et des souffrances de l'occupation et obtenir ainsi de meilleures conditions en intégrant volontairement l'Iran.

Pendant ce temps les islamistes fanatiques opèrent sans entraves aux États-Unis. Ils bâtissent des mosquées dans lesquelles ils prêchent la violence contre les « infidèles, tandis que  des lobbyistes rémunérés par à l'islam radical vont et viennent à la Maison-Blanche et servent de conseillers au Président et au secrétaire d'État.

La meilleure preuve de ce que j’avance est cette photo de la flotte américaine des porte-avions, amarrée désarmée dans les ports américains, qui a déserté, la queue entre les jambes, les zones sensibles de la Méditerranée et de l’Océan indien. Vladimir Poutine n’est pas le dernier à se frotter les mains.

Sachant qu’il est clair que ni les Jordaniens, ni les Turcs n’oseront intervenir en Syrie, c’est bien à Israël qu’Obama passe la patate chaude que constitue la menace chimique d’Assad. Le front nord, nord-est d’Israël se réchauffe singulièrement. Après l’opération Colonne de nuée dans le sud,  faut-il s’attendre à une Colonne de feu qui embrasera le plateau du Golan et la Galilée ? 

jeudi 10 janvier 2013

Le vrai miracle d’Israël: que des Israéliens veuillent s’installer dans des "colonies sauvages"


« Implantations illégales, colonies sauvages », les vocables ne manquent pas pour interpeller Israël  et stigmatiser la création de nouveaux points d’habitation ou d’extension de villages existants en Judée-Samarie. Si j’étais un Occidental, je serais interpellé, non par la "légalité" des constructions au regard du droit international, mais par l’inverse, à savoir qu’est ce qui motive et donne de la force à des Israéliens, jeunes et moins jeunes, de créer un lieu de vie composé de quelques baraques en tôle, au milieu de ce que  l’on pourrait qualifier de « fin du monde, à gauche » (traduction littérale de l’hébreu). Après tout, rien ni personne ne les y oblige. Ils pourraient créer leur maison et élever leurs enfants, en toute sécurité, dans des villes et des villages à l’intérieur de la Ligne verte. Au lieu de ça, ils décident un beau matin d’investir un tas de pierrailles, à proximité de voisins qui ne les aiment que modérément, et décident que là serait leur maison.  Consultez la carte; ce n'est pas évident de slalomer jusqu'à Rehelim. 

Fut un temps, pas si lointain, où l’on a créé des kibboutzim au milieu de ce que le monde qualifiait de nulle part. On bâtissait une tour de guet au milieu de la nuit, et c’était le prélude à un village communautaire. Des inconscients, disaient les Occidentaux, des fous furieux qui vont se faire massacrer par les Arabes, dans des marécages infestés de malaria. Et pourtant cela a marché !

La vraie question que devrait se poser le monde occidental est : qu’est ce qui les pousse à le faire ? Les Kibboutsnikim de jadis et les « religieux » qui portent de drôles de calottes tricotées d’aujourd’hui. Apparemment, ils ne se ressemblent pas, apparemment leurs motivations ne sont pas les mêmes ; les premiers étaient laïcs et socialistes, ceux d’aujourd’hui persistent à prier trois fois par jour. Détrompez-vous, ce sont les mêmes, et quelquefois ce sont les petits enfants des fondateurs des premiers kibboutsim.  

Je pourrais tenter d’expliquer au Nouvel Observateur qui nous informe qu’ "Israël légalise discrètement une colonie sauvage en Cisjordanie", les raisons profondes, bibliques, métaphysiques, et ique, qui justifient qu’un tas de cailloux puisse faire partie intégrante de la Terre d’Israël, que, dans la mesure où, Eretz Israël a été promis en héritage aux fis d’Israël-Jacob, et que, cette promesse s’ étant  enfin concrétisée après deux mille ans d’errance parmi les Nations  – ce que nul ne peut contester – il serait malséant de ne pas en prendre possession. Un héritage ne se refuse pas !

Ces mêmes Nations, qui ont  déjà avalé de travers la création de l’Etat d’Israël, mais ne peuvent plus recracher l’arrête, continuent dans leur stratégie d’étranglement en voulant lui  imposer ses frontières: Jérusalem, oui, mais seulement un petit bout pour Israël, et certainement pas en tant que Capitale, la Cisjordanie aux Palestiniens, c'est-à-dire au Hamas et/ou à l’Iran, le Golan à la Syrie de Bashar ou aux Djihadistes qui lui succéderont, and so on…

Seulement voilà, ni le Nouvel Obs, ni même Obama, par la voix son futur probable Ministre de la Défense Chuck Hagel, antisémite et anti-israélien patenté, ne dicteront plus jamais à Israël  les contours de leur terre.  Ce temps est révolu puisque nous sommes passés dans un autre temps et une autre dimension, où c’est  le Patron qui décide.

Les  fondateurs  de « Rehelim qui comprend la colonie sauvage de Nofei Nehemia, distante pourtant de deux kilomètres, en la présentant comme un quartier de Rehelim », comme nous l’explique le Nouvel Obs, se sentent parfaitement autorisés à s’y installer, parce que  Rehelim se trouve dans le Shomron (Samarie, pour le Nouvel Obs), et que le Shomron fait partie intégrante de la terre d’Israël.  Et, non, ils n’ont pas peur, ni des habitants de Yatma, ni de ceux de Qabalan, ni même de ceux de Naplouse ; simplement parce que le temps de la peur est révolu.

Par conséquent, le vrai miracle d’Israël est que les Juifs n’ont plus peur. Ce n’est pas difficile à comprendre, même pour le Nouvel-Obs.


mercredi 9 janvier 2013

Le pays où l'on apprend aux enfants des collèges à se prosterner devant Allah



A la Roche-sur-Yon, et certainement ailleurs aussi, des petites collégiennes blondes et selon toute vraisemblance catholiques de souche s’imprègnent de l’Islam. Exercices pratiques et ,manifestement obligatoires, dans la Mosquée locale où on leur apprend à se prosterner devant Allah, qui certainement n’en demande pas tant.

Dans les 8500 Etablissements scolaires catholiques de France  et de Navarre, le Commissaire du Peuple Peillon interdit le libre débat sur des questions sociétales. Et quid des Mosquées et des écoles coraniques, on a le droit d’en disserter ou pas ? Le Commissaire du Peuple ne s’est pas prononcé !

Moralité, il n’y a plus en France de vérité que dans Allah, le très grand, et, chez Martine Aubry sa prophétesse, qui nous rappelle que la langue arabe est devenue incontournable et qu'il faut pouvoir la proposer comme première langue vivante dès le collège.

Et le pire c’est qu’elle a raison, parce qu’apprendre le Coran dans le texte nécessite une bonne connaissance de la dite langue. Remarquez, ça permet aussi d'étudier le "Guide des égarés" de Maïmonide dans sa version originale. Car on s'égare grave dans le pays de Rousseau et de Rashi de Troyes.

La grande question qui demeure est comment vont faire ces adolescents pour s’expatrier en Angleterre et ailleurs, si la seule langue étrangère qu’ils possèdent est l’arabe ? Réponse : ils n’auront qu’à partir travailler en Algérie dans l’usine Renault. 


Excellente nouvelle de dernière heure: Jack Lang qui visait l’UNESCO, va vraisemblablement diriger l’Institut du Monde arabe. Nous sommes sauvés !

lundi 7 janvier 2013

L’angoisse du Rav Ovadia Yosef qui va jusqu’à menacer de faire quitter Israël aux étudiants des Yéshivot qui pourraient être incorporés dans l’armée.


La période pré-électorale en Israël réchauffe considérablement les esprits. Confusément, malgré les sondages, en général plutôt fiables, on s’attend à une surprise de taille. Et la peur de l’inconnu rend cette période plus angoissante  encore que ne pourrait l’être une opération militaire où on sait que Tsahal, tôt ou tard l’emportera.

Une élection en Israël peut transformer radicalement le paysage sociologique de la nation, et la question clé qui taraude à nouveau les esprits reste et demeure l’enrôlement des Bahourey (étudiants) Yeshiva dans Tsahal. Cela est d’autant plus aigu lors de cette élection du fait de  l’apparition sur la scène politique israélienne de deux nouveaux venus.  L’un, Yaïr Lapid, fils de son père, ne donne pas dans la finesse et prône l’égalité totale devant la circonscription. Le second, Naftali Benet, nouveau patron du Baït Hayéhoudi présente un profil plus subtil dans la mesure où il a servi de longues années avec brio dans l’armée mais, qui plus est, est religieux ; d’une » religiosité » certes différente de celle des Harédim (orthodoxes) qui refusent de servir dans Tsahal. Il serait donc possible en théorie de servir dans l’armée, de faire des études supérieures, de réussir financièrement dans le High-Tech, et aussi de prier 3 fois par jour. A quoi les Orthodoxes répondent : O.K, mais il ne sera jamais un grand érudit comme pourraient l’être ceux qui étudient non-stop le Talmud et qui ne peuvent interrompre leur études.

Face à ce paradoxe apparent une  tendance lourde se dessine en Israël : O.K pour qu’il y ait en Israël des Grands Rabins, érudits et tout et tout, mais combien parmi les étudiants des Yéshivot possèdent l’endurance et les capacités intellectuelles pour le devenir ? Moralité, faisons une exception pour une poignée d’étudiants brillants mais que les autres servent dans Tsahal comme tout un chacun. C’était d’ailleurs la vision de Ben-Gourion lorsqu’il a accepté de créer l’exception au Service militaire des Harédim.

Quant au Rav Ovadia Yossef, coutumier de sorties fracassantes, il a déclaré lors de son intervention hebdomadaire du samedi soir que si l’on contraignait les Bahourey Yéshivot de servir dans l’armée, il n’y aurait d’autre solution pour eux que de quitter Israël pour un ailleurs où on leur permettra d’étudier à leur guise. Malgré mon choc initial j'ai été sensible à l’angoisse qui étreint ce Sage pour qu’il se laisser aller à une telle déclaration. Son amour d’Eretz Israël n’est pas discutable ; donc, il perçoit sans doute un danger que nous, commun des mortels, ne pouvons ressentir.

Je me suis souvent laissé aller à stigmatiser les sorties tonitruantes et souvent choquantes de Rav Ovadia Yosef, mais je n’ai pas l’intention d’en faire autant après cette déclaration, qui peut cependant terriblement déranger. Après ce que nous avons vécu pour mériter cette terre ou, après que Hashém, malgré nos erreurs et nos errements, ait décidé qu’il était temps pour le peuple d’Israël d’en prendre possession, qu’un grand rabbin en Israël dise : quittons la, parce que la Torah et ceux qui l’étudient, sont menacés, mérite réflexion.

Il a peut-être raison. Après tout il y a toujours eu en Israël des Sages - et je ne parle pas des Prophètes – qui ont vu plus loin et avec plus de clarté les dangers qui se profilent à l’horizon, et ,il est clair à mon sens que les véritables périls qui menacent Israël, ne viennent pas de l’extérieur mais bien des divisions internes qui écartèlent le pays.

J’ai entendu une opinion intéressante de Rav Oury Cherki qui suggère d’imposer à tous les jeunes qui intègrent l’Université d’étudier au moins deux traités de Talmud, en contrepartie de l’obligation des « religieux » de servir dans l’armée. Que chacun fasse un pas vers l’autre pour mieux se comprendre. Je doute que cette proposition soit reçue mais je la trouve fort pertinente. 

samedi 5 janvier 2013

Le visage stalinien de la France enfin révélé



Une des caractéristiques du Stalinisme c’est le refus du libre débat; seule compte la ligne dictée par le Parti unique au pouvoir.

Or, nous constatons qu’en France, l’Opposition au Parti au pouvoir qui dicte la pensée nécessaire, utile et  obligatoire, s’est tue, par aphonie et/ou couardise ; le parti  Socialiste est devenu de fait Parti unique. La meilleure preuve est que la seule qui soit allée au charbon pour protester contre l’ingérence de Peillon dans ce que l’on doit ou ne doit pas débattre dans les écoles catholiques est Christine Boutin, du très confidentiel Parti chrétien-démocrate. Comme au temps de Staline, Boutin a revêtu le visage du Refuznik, seule voix qui puisse s’élever contre la dictature.

Quant au très policé Ministre de l’Education nationale, Vincent Peillon, ne nous y trompons pas c’est un stalinien pur et dur qui interdit  que l’on traite dans tous les Etablissements catholiques de France et de Navarre d’un sujet qui n’est pas dans la ligne du Parti. Le mariage homosexuel est voulu par le Parti ; il est donc hors de question d’en débattre dans les Etablissements catholiques. Ahtung, Goulag !!

Vallaud-Belkacem, qui, tous les matins en se maquillant se répète inlassablement : « je sers le Parti » comme on disait jadis en URSS, a parfaitement le droit de se rendre  dans un collège public, en compagnie d'associations lesbiennes et gays, pour vendre sa soupe partisane, c’est naturel, elle a la carte du Parti. Enfin, le couperet tombe : Hollande le chef stalinien du moment apporte officiellement son soutien à son ministre.

Autre caractéristique du Stalinisme c’est la haine de l’argent et, par voie de conséquence, des gros et gras bourgeois qui en possèdent et qui se le gardent. On dit que Staline ne possédait en propre que ses bottes, son manteau et, bien sur sa variole. Idem Hollande qui a déclaré sans gène ni crainte : «  je n’aime pas les riches » !! En France d’ailleurs c’est plutôt mal vu d’être riche ; au mieux il faut être un riche discret, donc honteux.

Dernière caractéristique du Stalinisme c’est la totale absence d’espoir qu’il véhicule dans la population. « Ils font semblant de nous payer, alors on va faire semblant de travailler », disaient jadis les soviétiques et les satellisés. Donc, la seule solution en France pour les entrepreneurs, les éduqués et les talentueux, comme au temps jadis, est de partir là où l’herbe est plus verte et l’espoir de jours meilleurs envisageable.

On comprend mieux alors la décision de Depardieu de prendre la nationalité russe ; un pays qui a définitivement rompu avec le Stalinisme, et où être riche et célèbre n’est plus honteux. Bien sur, la Démocratie a encore quelques ratés, mais c’est lié au climat.

Quoiqu’il en soit, la France qui se dit socialiste se stalinise insidieusement mais sérieusement.  Mais Chtuttt, il ne faut pas le répéter.


vendredi 4 janvier 2013

Le très francophone Émir du Qatar adoube le Hamas à Gaza avant de se lancer à l’assaut de l’Amérique en rachetant la chaine TV d’Al Gore.



Une chose est certaine : l’émir du Qatar n’a pas les deux pieds dans le même sabot ; ça m’étonnerait d’ailleurs qu’il en porte.  A l’inverse de ses pairs du Golfe persique qui aiment à se prélasser à l’ombre de leurs fontaines et à chasser au faucon, le cheikh Hamad ben Khalifa Al-Thani déploie une activité frénétique et tous azimuts.

Rappelons quelques dates clé récentes :

- Le 13 Octobre, à Kinshasa la Francophonie s’élargit en faisant entrer le Qatar comme membre de plein droit. 

- Le 23 Octobre, Gaza accueille pour « une visite historique et bénie », selon les termes d'Ismaïl Haniyeh, le premier chef d’Etat d’importance à se rendre dans le fief du Hamas, en la personne de l’Emir du Qatar . "Aujourd'hui, vous annoncez officiellement la levée du blocus politique et économique imposé à la bande de Gaza", s'est réjoui le premier ministre du Hamas

- Le 10 novembre, soit deux semaines seulement après la visite de l’Emir à Gaza, un missile antichar est tiré contre une jeep de Tsahal, blessant quatre soldats, et le 11 novembre, plus de 100 roquettes s’abattent sur le sud d'Israël ; les écoles sont fermées dans un rayon de 40 km.

- Le 14 Novembre Israël riposte, déclenchant l’opération piliers de défense. Faut-il voir une relation de cause à effet entre la soudaine audace des Gazzaouis et la visite de l’Emir, je vous le demande ?

- Le 2 Janvier 2013,  sus au Nouveau Continent. L’Emir du Qatar, par le biais de son Al Jazeera chérie, rachète Current TV,  la chaîne très branchée lancée par Al Gore et son copain Joel Hyatt Zylberberg, et pénètre d’un seul coup dans 40 % des foyers américains.  Pour 400 millions de dollars, ce n'est pas cher payé.  Al Gore empoche au passage quelques 100 millions de dollars et continuera à siéger au conseil de la future chaîne américaine du groupe qatari. Précisons que les headquaters, comme on dit en qatari, seront basés à New-York. Gageons que le plus heureux de tous sera Baraq Hussein

Franchement, depuis le Blitzkrieg initié par les Allemands en 1939, on n’a jamais vu une guerre éclair aussi décoiffante, et ceci sans tirer un seul coup de fusil ; pas besoin, les autres s’en chargent. Quant à CNN, elle n’a qu’à bien se tenir, un nouveau Shérif est arrivé en ville. N'oublions pas que Chérif est un mot arabe qui désigne les descendants de Mahomet par sa fille, et qui par extension, signifie Prince ou Chef chez les Arabes et les Maures. Un peu comme Emir.

Je gage que dans quelques années les Américains vont apprendre à connaitre le multiculturalisme à la mode française. 


 Et si on profitait de cette accalmie de roquettes pour parler des Harédim. Pardon, de certaines mouvances hassidiques, pour qui, la néglige...