Murée derrière de hauts plateaux glacés et des déserts
brûlants, bien plus que par la Grande Muraille, souvent perméable aux invasions
barbares, la Chine se replia longtemps sur elle-même. Malgré des soubresauts ponctués de périodes de
stabilité et de chaos, la Chine demeure
la plus vieille civilisation pérenne du monde. Cette continuité tient notamment
au fait que les peuples étrangers qui l’ont conquise (les Mongols au XIIIe
siècle et les Mandchous au XVIIe siècle) n’y ont pas imprimé leur marque mais
ont adopté les coutumes et le système administratif chinois pour gouverner
l’Empire.
Ce superbe isolationnisme qui a permis à la Chine d’élaborer
une culture originale, de l’enrichir tout le long des millénaires, notamment
grâce à des emprunts après de
civilisations voisines, tel que le Bouddhisme en provenance d’Inde, et de la
transmettre au fil des générations jusqu’à aujourd’hui. Cette culture n’a
d’égale qu’une seule autre: celle des Hébreux. Le terme même d’"Hébreu" qui
vient de leur ancêtre biblique Evér, qui signifie « isolé, solitaire, de
l’autre côté », et voulant le rester. Les Hébreux Ivrim se situent
étymologiquement et culturellement de
l’autre côté du fleuve, évér la naar,.
Quel que soit le fleuve, la montagne ou le peuple parmi lequel ils
vivent, ils sont ailleurs. N’est ce pas cela qui leur est d’ailleurs reproché
depuis la nuit des temps ? Le premier antisémite notoire qui fut aussi le plus grand prophète qu’auront compté les
nations, à savoir Bilaam, a théorisé ainsi sa détestation vis-à-vis des Hébreux
« Voilà un peuple qui demeurera solitaire, il ne sera pas compté parmi les
nations ». (Nombres 23 :9)
Ce n’est donc pas la topographie qui a isolé les Hébreux des
autres peuples comme ce fut le cas des Chinois, mais la volonté farouche de
garder leur culture intacte pour ne pas la voir pervertie par les nations au
milieu desquelles ils ont séjourné. Les Empires
égyptiens, mésopotamiens, précolombiens, grecs ou romains se sont, soit
engloutis dans les sables de l’histoire, soit se sont métamorphosés au point où
il n’est guère possible de reconnaître dans les civilisations modernes la
marque de leurs ancêtres. Seuls les hébreux et les Chinois pour n’avoir pas été
pollués par les civilisations environnantes ont su rester eux-mêmes durant des
millénaires.
Qu’est ce qui distingue fondamentalement les deux cultures ? Durant leur exil les
Hébreux sont éclatés dans la partie occidentale du monde. Il n’y a pas une
nation, un seul peuple parmi les 70 nations répertoriées dans la Torah qui
n’ait pas eu ses juifs. L’Extrême-Orient par contre n’a pas bénéficié, ou
vu imposer, cette présence, et de ce fait
n’a pas profité, ou eu à subir, du principal leg que les Hébreux ont apporté à
l’humanité. Quel est ce leg ? Les Hébreux ont apporté à l’humanité D.ieu
et son Nom le qui s’est imposé dans toutes les civilisations et langues
occidentales : God, Gott et toutes ses variantes saxonnes, Deus,Theos,
Dieu et ses déclinaisons gréco-latines,
El , Allah.
Cette soif insatiable de connaitre D.ieu soit pour se lier à
lui soit pour se révolter contre lui, comme le firent les constructeurs de la
tour de Babel, n’a jamais cessé en Occident depuis Abraham, voire depuis Adam, le premier homme à se voir insuffler une âme. La mission du peuple juif, nous
disent les Rabbins, consiste à faire connaitre aux autres peuples de
l’Occident, ce qu’ils estiment être le véritable Nom de D.ieu, afin que dans les
temps futurs D.ieu ne soit qu’un et son Nom Un.
A l’inverse, D.ieu et son Nom n’ont pas franchi la frontière
occidentale de la Chine, et, si jamais ce fut le cas dans les temps anciens, les
civilisations extrêmes orientales se sont empressées de l’enfouir, de
l’occulter ou bien simplement de l’oublier.
Le Rav Ouri Cherki, à qui je dois une grande partie de cet article, nous fait état d’une conférence fort intéressante
donnée par un grand érudit extrême-oriental. A la fin de la conférence une
étudiante israélienne se rapproche de
l’érudit en question et lui demande : vous nous avez parlé de religion
mais vous n’avez pas mentionné une seule fois dieu. Le conférencier semble se
réveiller de son sommeil et balbutie : Ah oui , effectivement , il y a des
choses intéressantes à dire , mais … La religion sans dieu ou qui ne mentionne
pas le Nom de D.ieu serait donc tout à fait possible en Extrême Orient. Au contraire, dieu dérange, perturbe; il vaut mieux qu'il soit enfoui, on se passe très bien de lui.
Pour Lao Tseu l’absence du Nom est même essentiel : Il
disait : "Le Tao que l'on peut nommer n'est pas le Tao". Cette pudeur
ne l’empêche pas de reconnaître qu’il y avait quelque chose d’indéterminé avant
la naissance de l’univers. Mais ce quelque chose est muet et vide. Il est
indépendant et inaltérable. Il circule partout sans se lasser jamais. "Ne
connaissant pas son nom, je le dénomme "Tao".
A l’inverse, la curiosité des Hébreux, et de tous les peuples occidentaux à leur suite, pour ce qui est le nom
de D.ieu est insatiable. Lorsque D.ieu enjoint à Moïse de partir vers ses
frères emprisonnés en Egypte pour les libérer, la question de Moïse, anticipant
celle qui ne manquerait pas de lui être posée, fuse : S’ils me demandent quel
est ton nom que leur dirais-je ?
Ce point est magistralement résumé dans la prophétie d’Isaïe
(59 :19) « Ainsi on craindra le nom du Seigneur (Chém) dans les régions où
le soleil se couche et sa gloire kavod) dans les régions où le soleil se
lève ». Le terme Kavod, traduit communément par « gloire » se
rapporte aux manifestations tangibles et visibles de la création, qui seules
importent. En Occident, le Nom est essentiel ; alors qu’en Orient ce sont
ses œuvres et ses manifestations qui le sont.
Où commence et où se termine l’Extrême-Orient ?
Là où précisément on cesse de s’intéresser au Nom de D.ieu
pour se préoccuper de son Kavod, de sa Gloire. Des frontières géographiques
épousent également les frontières métaphysiques qui divisent le globe terrestre
en deux entités distinctes qui n’ont pratiquement pas entendu parler l’une de
l’autre pendant des millénaires. Au delà du désert du Punjab
commence un immense territoire qui a été déconnecté pendant des
millénaires de l’Occident. Il comprend l’Inde, la Chine, le Japon, le Vietnam la Thaïlande, le Tibet. Au nord du
désert de Punjab se dresse la chaîne de l’Himalaya, puis la Mongolie, suivie des
déserts glacés de la Sibérie..
Dieu aurait bâti son
monde en deux entités distinctes qui comportent de grandes difficultés à
communiquer l’une avec l’autre. Jusqu’à Marco Polo, on avait pratiquement
oublié que la Chine existât.
Il importe de rappeler que le peuple juif ne se considère
pas comme faisant partie des 70 Nations qui composent l’Humanité. Il serait en
quelque sorte la 71 ème nation, échappant ainsi à la dichotomie Orient-Occident.
A l’inverse des civilisations occidentales qui ne se préoccupent que de Son Nom, et par là même, de la progression nécessaire de la civilisation et du progrès , des cultures orientales qui mettent l’accent sur son Kavod , l’objectif des Juifs est d’associer à la fois Son Nom et Sa
Gloire. Baroukh chém kevod Malkouto, que soit béni le Nom de Sa Gloire,
suit systématiquement l’éternelle
profession de foi juive qui affirme l’Unicité de D.ieu : Chema Israël,
écoute Israël l’Éternel ton D.ieu, l’Eternel est Un. Or les Hébreux sont bien obligés de reconnaître que leur influence sur les pays du soleil levant a été des plus
limitées. En est-il bien ainsi ?
Abraham, après la mort de Sarah a épousé une certaine Kétoura
dont le nom en hébreu signifie « encens ». Kétoura ne serait autre, au dire de certains de nos commentateurs, qu’Agar en personne, qui a donné naissance au fils aîné d’Abraham, à savoir Ismaël. (Si vous voulez en savoir d’avantage reportez vous
à mon essai « Ismaël et ses frères »). Kétoura mit au monde 6 garçons (Zimran,
Yokchan, Medan, Midyan, Ichbak et Choua’h) qui seront les alliés naturels d’Ismaël, voire ses frères
tout simplement, dans le cas où Agar et
Kétoura seraient effectivement une seule
et même personne. Il est écrit dans la Torah (Genèse
25 :6 ) "Abraham donna tout ce qu’il avait à Isaac, et aux fils de ses concubines, il
fit des cadeaux et les envoya, de son
vivant, loin d’Isaac, en Orient, dans le pays de de l’Orient".
Ce passage
biblique est troublant et appelle plusieurs questions Qu’a t-il donné exactement
à Isaak qu’il ne puisse le partager avec ses autres fils, pourquoi cette insistance à citer deux fois le
mot Kédém, Orient, quel est ce fameux pays
de Kédém, qu’est-ce qu’Abraham a pu
donner aux fils de ses femmes, alors qu’il est écrit qu’il donna tout ce
qu’il possédait à Isaak. Car manifestement il n’y a pas que les enfants de Kétoura
qu’il a envoyés en Orient puisque le texte nous dit : « les fils de
ses servantes ».
Pour tenter de répondre à ces questions attachons nous à la
personnalité d’Abraham.
Abraham a
beaucoup bourlingué : de Our Kasdim, à proximité de l’embouchure de
l’Euphrate sur le Golfe Persique (bien que certains commentateurs situent Our kasdim bien plus au nord et plus proche de Haran), à Haran, en haute Mésopotamie. De là en terre
de Canaan, et pour finir, un aller-retour en Egypte. Abraham, en pur révolutionnaire agitateur, a
détruit non seulement les idoles en terre cuite que vendait son père Téra'h, mais a
tenté de combattre les idées reçues,
voire les idéologies en place. Au départ, son action avait une portée universelle ;
à savoir convaincre tous les peuples de
la terre de renoncer à leur idolâtrie pour reconnaître et servir le D.ieu Un.
Ces ambitions cosmopolites furent balayées en un instant lorsque D.ieu lui
enjoignit de cesser son prosélytisme tous azimuts pour s’occuper de
lui-même : « marche pour toi », soit, rien que toi et personne d'autre, vers le pays
de Canaan, fonde un Peuple et alors, mais alors seulement, Je te ferai devenir
une grande nation, et toutes les familles de la terre seront bénies par toi. Quand ? Cela n’est pas spécifié. Donc, la condition
sine qua non pour que le message
d’Abraham soit reçu, consiste à l’implanter dans un peuple précis, sur une terre
aux frontières bien définies. De là il pourra rayonner. De part sa paternité
tardive, Abraham pensa au départ que son héritier naturel, de ses biens et de
sa pensée, serait Ismaël, son aîné jusqu’à ce que D.ieu l’en dissuade en lui
précisant que c’est d’Isaak que naîtra sa filiation, son Alliance, et que c’est
à la descendance d’Isaak que reviendra la terre de Canaan. Ismaël ne fut pas
floué pour autant ; il deviendra une grande nation.
En voyageant, Abraham acquit aussi de nouvelles connaissances. Nos
sages nous disent que lors de son voyage en Egypte il apprit toutes sortes de
sortilèges, des « noms de l’impureté », nous explique Rashi, destinés
à combattre les mauvais esprits et les démons, qu’il n’intégra pas évidemment
dans son Monothéisme intransigeant transmis à Isaak, mais qui, peut-être
pourraient lui servir plus tard à d’autres fins.
Ce moment arriva à la fin de sa vie où, comme nous l’avons vu
précédemment, il donna tout ce qu’il possédait à Isaak, et, aux fils de ses
concubines, il fit des cadeaux. Ces cadeaux sont , nous disent encore nos Sages, ces
sciences occultes qui n’avaient aucune utilité pour Isaak mais qui pourraient
être bien utiles à ses autres enfants dans les contrées lointaines extrême-
orientales vers lesquelles il les envoya.
Abraham, ce révolutionnaire dérangeant devint bien évidemment célèbre dans toutes les
contrées à l’est et à l’ouest de Canaan, de l’inde jusqu’en Egypte. Qui
n’entendit parler d’Abraham à cette époque ? Prônant le D.ieu Un,
Abraham fut perçu par les habitants des contrées lointaines, qui reçurent
l’information de façon tronquée; les moyens de communication à l’époque
n’étant pas ce qu’ils sont devenus aujourd’hui, comme dieu lui-même.
Voltaire, dans son Dictionnaire philosophique rapproche
le nom indien Brahman du nom hébreu Abraham. Qui sommes nous pour contester la
géniale intuition d’un des plus grands antisémites qu’ait connu l’histoire
récente. Et il est vrai que les deux noms se ressemblent singulièrement sur le
plan phonétique. Qui plus est, Brahma avait une femme du nom de Sarasvati, Sarah
Svasti ; cela ne vous rappelle rien ?
Un grand maître de l’ésotérisme islamique Abdul karim al Jili (14 e siècle) confirme
l’intuition voltairienne et nous dit que les brahmanes prétendent eux-mêmes
être les descendants d’Abraham. Ils affirment détenir un livre rédigé pour eux
de la part d’Abraham. Ce livre contiendrait les vérités fondamentales et
comprendrait 5 parties; quatre d’entre elles sont compréhensibles par tout un chacun, la cinquième n’est compréhensible que par un petit nombre, et
celui qui arrive à la saisir adhère à la religion de Mahomet.
Or qui est Brahma, si ce n’est l’Esprit suprême, créateur de la
matière et de l'univers ; définition qui s’apparente singulièrement au
D.ieu Un, créateur ex nihilo de toute chose, comme ne cesse de le prôner
Abraham. Et qui sont les Brahmanes, si ce n’est les membres de la caste hindoue
sacerdotale, la première des quatre grandes castes en Inde; les instruits et
les éclairés.
Une lecture erronée du texte biblique peut aussi être à l’origine
de l’association/confusion Abraham- Brahma. En effet il est écrit (Genèse
2 :4) : « Voici les origines du ciel et de la terre lorsqu’ils
furent créés ». Le mot « créés » se dit en hébreu Bé’hibaram. Et
nos sages interprètent ce verset en transformant le mot Bé Hi’baram en
Abraham. Ce qui donne lieu à trois
significations possibles, dont les deux premières sont largement commentées
dans le Talmud. La première est que le
ciel et la terre ne furent créés que pour Abraham qui a introduit la
Mida de Hésséd (l’attribut de bonté) dans le monde. La seconde, est que le monde
fut créé grâce à la lettre Héi (cinquième lettre de l’alphabet hébraïque) qui fut ajoutée à Avram qui devint ainsi
Abraham. Le Talmud de Babylone (Men. 29 :2) nous explique en effet que le
monde d’ici bas fut créé par la lettre Héi et le monde d’en haut par la lettre
Youd. La lecture serait donc la suivante Bé Héi Baram, avec Héi, ils furent
créés. Une autre explication qui découle d’une lecture rapide du texte serait
que ce serait Abraham lui-même qui aurait créé le Ciel et la terre;
attribuant au Patriarche dont se réclament les Hébreux et les Musulmans, la
paternité de la création; le transformant ainsi en dieu lui-même.
Il n’est pas concevable qu’aux fils de ses épouses illégitimes, qu’il envoya
vers l’Orient extrême, Abraham ait légué des cadeaux empoisonnés, des
noms de l’impureté sans utilité aucune . Il est bien plus probable
qu’Abraham a légué à ses fils les sciences ésotériques, mystiques,
numérologiques, méditatives et astrologiques qu’il avait acquises dans ses
pérégrinations entre la Mésopotamie et l’Egypte, et muries tout le long de sa
vie. Il leur lègue les connaissances qui feront écho dans les contrées où ils
se rendront et leur permettront de devenir des personnages importants, des
savants et des prêtres, des hommes d’influence.
Il faut noter que les écrits mystiques tels les Véda ( et plus particulièrement le Riga Véda, texte éminemment monothéiste) furent écrits, plus ou moins, à l’époque où vécut Abraham, soit 1800 ans avant l’ère ordinaire et que le Yi
Jing, soit le Classique des Changements, qui est le plus ancien texte chinois,
date du premier millénaire avant l’ère ordinaire. Or, il est plus que vraisemblable que ces sciences
étaient bien plus avancées dans le Moyen-Orient, entre l’Egypte et la
Mésopotamie, qu’elles ne le furent en
Inde, et dans des contrées encore plus orientales telles que la Chine et le
Japon.
La tradition attribue à Abraham la paternité du Séfér Hayétsira,
le Livre de la Formation. Cela ne signifie pas, comme l’explique Saadia Gaon,
que la version que nous possédons aujourd’hui du Livre de la Formation, fut rédigée
par Abraham, mais qu’Abraham a été le premier à manier les concepts développés
dans le Livre. Ceci est confirmé par le tout dernier passage du Sefer Hayétsira
(6:7) : « lorsque vint Abraham notre père, il observa, vit, comprit
et analysa, et grava et sculpta et il fit surgit par sa main la création…………..
Aussitôt se révéla à lui le Maître de tout, le plaça contre Sa poitrine,
l’embrassa sur la tête et lui dit Abraham mon ami….. »
Le Sefer Hayétsira (que nous n’allons pas développer ici) commence ainsi : avec 32 voies, qui comprennent les 22 lettres de
l’alphabet hébraïque associées aux 10 Séfirot, D.ieu a gravé, et a créé ex
nihilo son monde ; avec trois Séfarim, qui sont le livre, le nombre et le
récit.
La maîtrise du maniement des lettres de l’alphabet hébraïque ainsi
que des 10 nombres (10 et non 9, 10 et non 11, comme il est indiqué au chapitre
I :4 du Sefer Hayétsira, ce qui crée les bases universelles du système
décimal) qui permit de créer le ciel et
la terre, fut transmise à Betsalel dans le désert, et lui permit de construire le Tabernacle. Elle permit aussi au Maharal de Prague, et à
d’autres avant lui, de créer un Golém. Elle devrait aussi pouvoir permettre aux
fils d’Abraham, qui l’étudièrent auprès de leur père, d’imprimer leur marque
dans l’Orient lointain, qui profita ainsi de la science ésotérique la plus
ancienne. Par ailleurs il est écrit dans le Talmud (Avoda zara 14 :2)
qu’Abraham possédait un livre comprenant quatre cent chapitres de noms
d’idolâtrie, qui font sans doute aussi
partie de ce qu’il légua à ses fils.
Selon la
tradition juive, les fils d’Abraham ne partirent donc pas les mains vides dans
l’Orient lointain. Ce qu’il advint d'eux, et de cette science et des techniques de
formation de toutes choses qui en découlent, seul l’avenir nous le dira, quand
seront dressées et révélées les influences exactes de la cabale juive les
sciences ésotériques hindoues et chinoises.
A suivre B.H
A suivre B.H