De loin le meilleur roman d’Umberto Eco, le « Nom de la
Rose » met en scène des complots, des intrigues, un Pape à Avignon qui s’enrichit
sans vergogne, des moines mendiants et fiers de l’être parce que Jésus était
pauvre, des mœurs dépravées et beaucoup de souffre qui finit par tout brûler.
Et, par-dessus tout, la mise en cause du rire et de l’humour qui arrange pourtant bien des choses ! Je n’ai aucune leçon à donner à la vénérable institution papale, et aucune envie d’en donner d’ailleurs, mais, les Chrétiens qui aiment tant à s’inspirer du Judaïsme - voire Ratzinger citer les propos du Grand Rabbin de France sur le mariage homosexuel - devraient se familiariser d’avantage avec l’humour juif. Après tout, selon la tradition, il arrive même à dieu de rire et de jouer (Talmud-Avoda Zara 3b).
La réalité a presque dépassé l'imagination débordante d'Eco, qui, sur cette photo ressemble d'ailleurs à un rabbin
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire