jeudi 28 mars 2013

Un metteur en scène israélien présente à Aubagne un film anti-israélien et se fait tabasser par une bande d’Arabes



Le comble de  l’absurde, ou de la bêtise, est franchi : le metteur en scène Yariv Horowitz présente à au Festival International du film d’Aubagne (France) son film « Rock The Casbah » pour tenter d’y glaner un quelconque prix.  Il obtient en effet la "mention spéciale du jury" et, en prime, se fait tabasser jusqu’à perdre connaissance par une bande de jeunes arabes, dont l’un aurait déjà visionné le film. 

Le film qui se passe pendant la première Intifada met en scène 4 soldats israéliens sur le toit d’une maison à Gaza ; ils tentent de débusquer le salopard qui a tué un de leurs amis. Les moyens qu’ils emploient ne sont évidemment guère à mettre au crédit de Tsahal, comme tous les films de cet acabit tournés par des réalisateurs bien pensants de la gauche israélienne. Au lieu de lui voter un coup à boire pour le remercier de sa contribution à la propagande anti-israélienne, les Arabes tabassent Horowitz.

La moralité de l’histoire est que l’on n’a rien à gagner, à part une bastonnade,  à tenter de plaire à ses ennemis, qui se foutent pas mal qu’un Israélien défende la cause palestinienne. La seule chose qui compte à leurs yeux est qu’il est précisément Israélien. 

Les résultats des prix au Festival d’Aubagne sont déjà publiés ; pensez-vous que bastonnade d’un Israélien le soit ? Ça m’étonnerait ; il a fallu que j’aille sur le site de Nana pour l’apprendre.  Donc, seconde moralité de l’histoire: si vous voulez savoir ce qui se passe en France, apprenez l’hébreu !

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