Vous connaissez les efforts acharnés d’Amos Oz pour décrocher
le Prix Nobel de Littérature, le seul qui manque à son palmarès déjà bien
fourni. Jusque-là pas de chance; lui qui était donné lauréat à plusieurs
reprises s’est vu priver de ce prix littéraire prestigieux. Je gage que cette
année le Nobel ne lui échappera pas. En effet, que faut-il pour séduire les suédo-norvégiens
qui le décernent ? Réponse: une bonne dose d’antisionisme gauchiste
et humaniste politiquement correct, accroît considérablement vos chances. Amos
Oz a profité de la sortie de son nouvel ouvrage sur le Kibboutz pour lancer sa
bombe nucléaire sur son propre pays : Israël nourrit dans son sein des « Néo
Nazis ». Le mot est lâché « Néo nazis » ! De là à passer à « Nazis »
tout court, le pas est vite franchi dans la si philosémite Europe qui ne
demande qu’à voir croitre et embellir son exécration du Juif, de l’Hébreu, de l’Israélien,
et ne fait pas le détail dans la nuance sémantique. Oz d’ailleurs s’en est rendu
compte un jour seulement après avoir craché son venin en précisant qu’il ne
voulait pas dire « Nazi » mais « Néo nazi », mais le Qassam
était déjà Lancé.
Amos Oz, l’Israélien le plus connu dans le mode après Shimon
Pérès, ou avant lui, pour les intellos littéraires, cautionne la calomnie anti
juive qui fait des ravages en se joignant aux imprécateurs, aux Soral,
Dieudonné et Palestino Djihadistes de tous poils. Et de quoi s’agit-il ? D’une
poignée d’abrutis pré pubères qui taguent la nuit, comme des chacals, des murs
d’habitation arabes et sont vomis par la
société israélienne qui ne voit en eux qu’un facteur d’antisémitisme
supplémentaire. Merci Amos d’avoir attisé la haine qui n’avait pas besoin ni de
ta plume ni de ta voix ; un bon Graffiti Creator couleur noire suffit
amplement .
Un autre prix Nobel de l’Antisémitisme peut être décerné au
Consistoire de Paris en la personne de son Grand rabbin - par intérim - Michel Guggenheim
qui a nous a permis de compléter notre éducation ; à savoir qu’une femme
ne peut divorcer religieusement qu’en crachant
au bassinet des sommes astronomiques ; une part revenant au mari et une autre
à des œuvres caritativement acceptables, le tout accompagné par un parjure devant le
Tribunal Civil de la République. Ce
racket au Guét a fait le tour de la toile et bien entendu contribué à bonifier
l’image du Juif dans l’opinion publique.
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