mercredi 27 août 2014

70 Israéliens sont morts dans cette guerre, chacune des 70 Nations nous doit une âme

Nous n'avons pas provoqué, ni voulu de cette guerre, elle nous a été  imposée par nos ennemis, et amplifiée, encouragée et médiatisée, à  notre désavantage  bien sûr, par à  peu près toutes les Nations de la terre qui sont, comme nos textes nous l'enseignant,  au nombre de soixante-dix

Septante, comme les 70 peuples et langues (Am vé Lashon) qui ont émergé de la Tour de Babel,  Septante comme le Guématria (valeur numérique) de Gog et Magog, soit le nombre total des Nations à qui Israël fera la guerre à la fin des temps (et qu’elle gagnera). Mais aussi, 70 comme les âmes que convertit Abraham et qui le suivirent dans sa route vers Canaan, 70 Hébreux  qui rentrèrent avec Jacob en Egypte, 70 membres du grand Sanhédrin (Grand Tribunal),   en référence aux 70 Anciens qui accompagnaient et assistaient Moïse (Nombres 11:6) dans le désert…

Le chiffre 70 n'est pas un chiffre comme les autres  pour les Hébreux, c'est tout un symbole, voire un programme.

Dans cette guerre imbécile et inutile, Israël ne s’est pas contenté de lutter contre des Gazziates mais elle a dû faire face aux soixante-dix nations qui l’ont critiqué, boycotté, traité de tous les noms d’oiseau. Négligeant et oubliant tous les massacres et génocides auxquels se livrent les Arabes, y compris contre les Chrétiens, ses frères,  l’Occident s’est focalisé sur Israël, ces « Nazis  et criminels de guerre  juifs ».

Bibi Netanyahou, tant vilipendé, ne s’est pas contenté de livrer la guerre aux Arabes mais a dû aussi batailler avec tous les dirigeants, si sensibles, des soixante-dix Nations pour qui seules comptent les images exportées de Gazza, diffusées et amplifiées par les Médias d’une partialité à vomir. Les Américano-européens ont oublié l’Ukraine et Poutine et, les deux grands dadais qui siègent à Washington, lire Obama et Kerry,  suivis, voire précédés par leurs collègues européens ont porté toute leur sollicitude à Gazza meurtri.

Des soldats israéliens ont été tués à Gazza, les civils israéliens  ont été bombardés pendant 50 jours, tués, blessés ou "simplement » traumatisés",  et les Juifs en Diaspora ont été livrés à la foule haineuse qui a scandé en toute impunité "mort aux Juifs".

Il est clair aujourd’hui qu’Israël doit faire face, non seulement aux Arabes mais aussi à l’Occident qui les soutient. Bien des morts auraient pu être évités si l’Occident l’avait voulu. Mais non, il a laissé faire et c’est Mahmoud Abbas qui a finalement sifflé - provisoirement - la fin du match.

Un  jour les soixante-dix Nations devront rendre des comptes des 70 âmes qui nous ont été enlevées



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