mercredi 20 mai 2015

A la recherche de la médaille perdue offerte par François à Mahmoud Abbas, qui détruit "l’esprit mauvais de la guerre".

Qualifiant son invité (Mahmoud Abbas) "d'Ange de la paix", le Pape François a joint le geste à la parole et lui a offert une médaille représentant cette figure qui «détruit l'esprit mauvais de la guerre».

J’ai beau chercher partout, je ne trouve pas trace de la reproduction de cette fameuse médaille. Il est invraisemblable qu’aucun journaliste  se trouvant sur les lieux de cette rencontre historique ne l’ait photographiée, ni que Mahmoud ne l’ait exhibé fièrement à la presse, à son entourage et au peuple palestinien.

Or, tout homme de bonne volonté à la recherche de la paix devrait porter à son cou, ou ailleurs, cette « figure » qui possède la faculté de détruire l’esprit mauvais de la guerre.
Chez nous on dit que l’ange de la guerre est Gabriel, de Gevoura = bravoure. Chez les Musulmans aussi, Gabriel dit Jibril, a une grosse côte puisque c’est lui qui aurait dicté le Coran à Mahomed. C’est aussi l’ange Gabriel qui mit à la disposition de Mahomed la fameuse jument ailée Buraq qui lui a permis, lors de son ascension nocturne à partir de Jérusalem, de découvrir l’enfer et le paradis, en lui servant de guide.

Il est logique que les Chrétiens férus d’amour et de paix, bien qu’ils aient livré au cours des siècles les guerres les plus sanglantes que l’on peut imaginer, apprécient les amulettes illustrant la paix. Mais il est illogique que les Musulmans, mus par l’esprit de Gevoura, lire par l’ange de la guerre Gabriel, s’ornent de ce genre de figurines, interdites d’ailleurs par le Coran car représentant précisément une image.

Je n’ose imaginer que le Pape ait offert à Mahmoud une médaille de Fatima, qui est comme chacun le sait un petit village du Portugal où la vierge Marie se serait révélée à trois petits-enfants, car Fatima est la fille de Mahomed.


Bref, le doute subsiste et nous devons tous partir à la recherche de cette médaille perdue qui aurait des vertus curatives et pacifiques, car le Pape est, comme on le sait, infaillible.  

Les 7 Sephirot qui correspondent au décompte du Omer, jadis absconses, sont devenues de nos jours parfaitement évidentes

Vous connaissez, ou ne connaissez pas, les cours de Rav Ouri Amos Cherki,  sinon, sachez que les modules de ses cours sont généralement  de 50 ou de 30 minutes, selon le sujet traité. Il lui arrive de temps à autres de faire des interventions plus courtes, mais je n’ai jamais écouté un cours d’une minute. Or, c’est précisément de ce cours dont j’aimerais  vous entretenir, sachant que jamais, au grand jamais, je n’ai entendu un enseignement aussi éblouissant, complet, sioniste et prophétique.... dispensé sur une durée aussi courte.

Le thème, à priori ardu, est : les secrets (ou les allusions) contenus dans les 7 Sephirot  qui correspondent  aux sept semaines du décompte du Omer.  Ce cours a été donné à l’occasion de Lag Baomér. Pas évident me direz-vous: Sephirot, cabale, ésotérisme, ça doit être d’un obscur ! Eh bien, non,  pas du tout. Pour vous mettre sur la voie, sachez que le Rav a dispensé le même jour un autre cours, de 48 minutes celui-là,  qui s’intitule : "le sionisme politique existe pour révéler l’enseignement du Sod" (Secrets de la Torah).

La démonstration du Rav est simple:

- La première semaine correspond à la Séphira de Hésséd, bonté gratuite que nous prodigue Hashém, car il s’agit de la sortie d’Egypte, de la délivrance. Je rajouterais, de la délivrance du joug des Nations que connait notre génération,  matérialisée par la création de l’Etat d’Israël dans les frontières de 1967.
- La seconde Sephira, soit Gevoura, bravoure, courage, correspond, comme par hasard, au Yom Hazikaron la Shoah Vé La Gévoura, soit le Jour du souvenir de la Shoa et de la bravoure des Juifs qui ont résisté pendant l’Holocauste (Ghetto de Varsovie et autres actes de bravoure). Ce jour de commémoration a été institué en 1953 par David Ben Gourion.
- La troisième semaine et donc la troisième Sephira est Tiférét, retour à la Splendeur de la Nation dans son pays
- La quatrième Sephira est celle de Netsa’h qui est la Sephira attribuée à Moïse, Moshé Rabbenou, qui nous a transmis une Torah éternelle , mais aussi, ainsi que l’a décrété la Knesset, le 10 du mois de Yiar jour de la naissance de Binyamin Zéev Herzl sera consacré au souvenir du prophète des temps modernes qui a conçu et œuvré pour la renaissance du peuple juif sur sa terre.
- La cinquième semaine est commémorée par la Sephira Hod et plus précisément  Hod Ché ba Hod, soit le 33 e jour de l’Omer, Lag Baomér qui est associée de toute éternité à Rabbi Shimon Bar Yohaï. Le mot Hod provient provient de Hodaïa reconnaissance à Hashém.
- La sixième Sephira soit Yéssod et plus spécifiquement Yéssod ché ba Yéssod est associée au Ramhal, Rabbi Haïm Luzzato, qui a vécu dans la première moitié du XVIIIe siècle. Cabbaliste et auteur d’ouvrages de Moussar (morale) qui ont largement  façonné l’éthique et les règles de conduite qui sont le propre du peuple juif, malgré tout ce que racontent les Nations et malgré quelques dérapages.
- La septième et dernière  Sephira qui clôture les 49 jours du Omer est bien évidemment Malkhout, soit la Royauté qui explose de joie à Yom Yerushalaïm, la célébration de Jérusalem réunifiée à jamais.

Vous voyez donc que tout ce qui relevait jadis du domaine du Nistar (secret, abscons) est devenu depuis la création de l’Etat d'Israël visible et dévoilé, niglé vé galouï.

J'espère avoir été fidèle aux propos du Rav. Sinon, je le prie de m'en excuser.

mercredi 13 mai 2015

Le Pape en se maquant avec la Palestine, lire Ismaël accélère le cours de l’Histoire messianique. Merci l’artiste

Le Pape va canoniser quatre religieuses dont deux dites "palestiniennes", alors qu’au XIX e siècle le terme de Palestine n’était plus d’usage depuis l’époque romaine. Dans la foulée, le Vatican reconnait l’Etat fantôme de la Palestine et rencontrera en grandes pompes l’ignoble Abbas. 
Ce Pape a décidément  le sens des priorités : au lieu de hurler au massacre de chrétiens par les Musulmans de tous poils, de reconnaître à la face du monde que le seul pays du Moyen-Orient où les Chrétiens vivent en paix et pratiquent leur culte en toute liberté est Israël, il va s’acoquiner avec Ismaël qui détruit les Eglises, exile et tue les Chrétiens. Il est vrai qu’avec le retour des Juifs à Sion nous sommes aux temps pré messianiques où Esaü, ancêtre de Rome, se marie avec la fille d’Ismaël et prend pour épouses des filles cananéennes, lire palestiniennes. Merci Il Papa d’accélérer le cours de l’Histoire; tu nous fait gagner un temps précieux.

dimanche 3 mai 2015

Obama trahit Jérusalem en l’espace de 48 heures.


Certains de mes articles sont difficilement trouvables  sur la toile, aussi je vous reproduis les articles rédigés entre Juin 2008 et Septembre 2011. Certains n’ont rien perdu de leur actualité, ils permettent au contraire de l'éclairer. 

8 Juin 2008 (six mois avant son élection à la présidence)

Devant un parterre de 7000 délégués de l’AIPAC, le principal lobby pro israélien, Baraq Obama prononce le discours le plus enflammé que l’on ait entendu de la part d’un président américain ou d’un candidat à la présidence. Il y va d’une tartine sur Jérusalem, unie et indivisible, à jamais la capitale unifiée de l’Etat d’Israël, d’un Etat qui doit vivre en sécurité dans des frontières sures et reconnues, et promet que jamais, au grand jamais, il ne négocierait, pour le plaisir de négocier, avec Ahmadinejad. Standing ovation des délégués de l’AIPAC, reprise du discours par tous les organes de presse, ceux qui sont pour et ceux qui sont contre. Enfin un candidat à la présidence acquis à la cause sioniste, partisan de la grande Jérusalem, propriété exclusive de l’Etat hébreu. Ceux qui sont pour s’extasient de bonheur, et ceux qui sont contre, dont un certain Mahmoud Abbas, crient au scandale et déclare "Le monde entier sait parfaitement que nous ne pourrons jamais accepter un Etat sans Jérusalem. Cela devrait être clair". : Obama ne serait qu’un vendu à la cause sioniste, il va à la pêche aux voix.

Le lendemain ou le surlendemain, Obama est interviewé par CNN, et voilà qu’il déclare que le statut de Jérusalem, au même titre que d’autres points importants - "issues", en anglais - devra être négocié entre les parties; lire entre les israéliens et les négociateurs arabes. Finie la Jérusalem terrestre, capitale unie et indivisible de l’Etat juif, finies les envolées lyriques. Quant Mahmoud Abbas râle, Obama change son fusil d’épaule.

la presse internationale a peu parlé, de ce que les américains intitulent le flip-flop d’Obama: volte face, retournement de veste, appelez ça comme vous voulez.

Un politicien qui, en espace de 48 heures, ou de 24, est capable de changer d’avis sur un point aussi crucial, est un fumiste, n’ayons pas peur des mots, dont il faut se méfier comme de la peste. Son élection serait on ne peu plus nuisible pour l’Etat d’Israël. J’ignore si les électeurs juifs américains ont été sensibilisés par le flip-flop d’Obama. Ils devraient en tous cas bien réfléchir avant de voter pour lui. Quant aux médias , si prompts à s’enflammer, ils feraient mieux de tourner leur stylos dans tous les sens, avant de lui dresser des lauriers, et surtout, de faire preuve d’objectivité en informant leurs lecteurs de la volte face d’un candidat, qui change d’avis comme de chemise; et pas sur n’importe quel issue.








 Et si on profitait de cette accalmie de roquettes pour parler des Harédim. Pardon, de certaines mouvances hassidiques, pour qui, la néglige...