dimanche 26 juillet 2015

Hitler qui a travaillé comme grouillot à l’Hôtel Imperial à Vienne, y fête en1938 l’annexion de l’Autriche, suivi par John Kerry qui croit y avoir signé la destruction d’Israël.


Lors de sa jeunesse quasi clocharde à Vienne, Hitler travaille notamment  comme travailleur journalier à l’Hôtel Imperial à Vienne. Il n’y fera pas long feu, gardant de ses années de galère dans la capitale autrichienne un souvenir amer qui l’aidera à concevoir ses futures élucubrations. Il y retourne en grandes pompes quelques années plus tard pour y fêter l’annexion de l’Autriche (Anschluss). A l’Hôtel Imperial, bien sûr !

En 1998 Simon Wiesenthal  le fameux chasseur de Nazis fête son 90 ème anniversaire au même Hôtel. Un dîner tout ce qu’il y a de casher durant lequel Wiesenthal  au cours duquel il prononce cette phrase qui se voudrait prophétique: "Regardez, même les chandeliers tremblent. Hitler est parti, les Nazis ont disparu mais nous sommes toujours là, chantant et dansant » (“Look, even the chandeliers are shaking,” said Wiesenthal at the dinner. “Hitler is gone. The Nazis are no more. But we are still here, singing and dancing.”)

Il est vrai qu’Hitler n’est plus, que les Nazis ont disparu, mais je suis certain que les chandeliers qui trônaient  au dîner de Simon n’ont pas tremblé parce qu’ils savaient que 19 ans plus tard, l’Histoire se répétera, avec, dans le rôle Chamberlain,  le sieur John Kerry, et comme Sonéï  (haïsseurs) Israël  le couple infernal  formé par Ayatollahs + Obama.

Simon Wiesenthal nous a quitté mais les chandeliers de ce fameux dîner doivent bien exister quelque part. Il faudra qu’après la prochaine défaite fracassante de l’Iran et l’immersion dans les poubelles de l’histoire d’Obama, Kerry et consorts (où la vérité finira par éclater), l’Etat d’Israël organise une grande fête - casher, bien sûr - à l’Hôtel Imperial, avec le chandelier /Menorah comme invité d’honneur. Ne serait-ce que pour honorer la mémoire de Théodore Herzl, en l’honneur de qui ces farceurs d’Autrichiens ont érigé une place juste en face de l’Hôtel Imperial. L'Histoire a de ces clins d’œil qu'il faudrait être aveugle pour ne pas les voir.

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